Le blog du SRE29

Le coût socio-économique des accidents de la route est souvent perçu, à tort, comme la somme des coûts médicaux et du montant des dommages matériels. Le calcul est plus complexe, prenant en compte la perte de production de l’accidenté, les coûts administratifs et le coût humain (perte des années de vie pour les tués et perte de qualité de vie pour les blessés et les familles des victimes).
La valeur de la vie statistique obtenue a longtemps été estimée à 3 millions d’euros. Maxime Large a réactualisé à la hausse cette valeur, au moyen d’une méthode qu’il nous détaille, chiffrant le coût des accidents de la route pour la France, à 4 % du PIB.

Cet entretien est le sixième volet d'une série de programmes courts - Parlons sécurité routière - débutée à l'automne 2021, qui veut mettre en avant l'état de la recherche scientifique dans le domaine de la sécurité routière.

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En 2021, comme tous les ans, l’effort financier de l’État en faveur de la sécurité routière (3,7 milliards d’euros par an) est plus de quatre fois supérieur aux recettes des radars automatiques (859 M€ en 2021).

Hormis les 11,5 % affectés au désendettement de l’Etat, les recettes générées par les radars sont réparties entre 4 destinataires : l’Agence de financement des infrastructures de transports de France (AFIT France), les collectivités territoriales, la Délégation à la sécurité routière (DSR) et le fonds de modernisation pour l’investissement en santé (FMIS) (anciennement fonds de modernisation des établissements de santé publics et privés - FMESPP). En 2021, ces quatre institutions ont reçu respectivement 273 M€, 145 M€, 316 M€ et 26 M€.

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La campagne s’adresse aux automobilistes pour mieux protéger les utilisateurs de vélos, trottinettes, et engins de déplacement personnel en tout genre. Alors que les nouvelles mobilités augmentent considérablement et s'accompagnent d’une accidentalité préoccupante, la Sécurité routière promeut l'adoption dans l'habitacle d'un nouveau réflexe très simple pour mieux protéger ces usagers très vulnérables : "Portière gauche, main droite - portière droite, main gauche".

Pour sortir de voiture, il s'agit d’actionner la poignée de la portière avec la main opposée à celle-ci pour entraîner mécaniquement la rotation des épaules. L’automobiliste s’apprêtant à ouvrir sa portière est alors naturellement bien mieux placé pour vérifier dans son rétroviseur et vers l’arrière de sa voiture, qu’aucun usager ne surgit de l’angle mort.

Sécurité routière : Vivre, Ensemble (lebureaudecom.fr)

Le 10 octobre 2022, les « Pros ont du talent » ont organisé leur cérémonie de remise de prix. Ce concours récompense des TPE et PME pour leurs initiatives ambitieuses dans 9 catégories (croissance, développement durable, etc.). Dans la catégorie sécurité routière, trois entreprises ont reçu leur trophée des mains de Florence Guillaume pour les actions efficaces qu’elles ont mis en place pour protéger leurs collaborateurs du risque routier professionnel.

Voici le baromètre de l'accidentalité du Finistère pour le mois de septembre 2022 et le message de prévention du mois, en prévision du changement d'heure #gagnons en visibilité

Septembre / Accidentologie 2022 / Accidentologie / Sécurité routière / Transports, déplacements et sécurité routière / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État dans le FINISTÈRE (finistere.gouv.fr)

Les baromètres des mois précédents sont accessibles ici :

Accidentologie / Sécurité routière / Transports, déplacements et sécurité routière / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État dans le FINISTÈRE (finistere.gouv.fr)

Après un passage à la sous-préfecture de Lannion, Léa Poplin, qui fut aussi sous-préfète de Châteaulin de 2020 à 2021, retrouve le Finistère au poste de directrice générale des CCI du département.

Ancienne sous-préfète de Châteaulin, Léa Poplin va diriger les CCI du Finistère - Brest - Le Télégramme (letelegramme.fr)